Série: Groom Lake 2/2
Auteurs: Richez / Dzialowski
Editeur: Grand Angle
Une chronique BD : Génération BD
L’agent Birdy de la C.I.A. (Samuel Wilson) quitte précipitamment l’ambassade des Etats-Unis de Téhéran quelques minutes avant la prise d’otages de celle-ci par les Gardiens de la Révolution. S’en suit une ultime mission pour lui : La récupération de ces otages.
Cette opération sera un fiasco, et Birdy y laissera la vie, le 24 avril 1980. Il laissera derrière lui une femme et un jeune garçon : Simon Wilson.
A la fin du premier tome, nous avons également découvert, que dans la fameuse base 51, située dans le Nevada américain, un secret y est jalousement gardé et contrairement à la légende connue, celui-ci n’a rien à voir avec les extra-terrestres (affaire Rodwell). Groom Lake renferme le secret de la réincarnation. Si ce secret devait être découvert, ce serait le chaos, l’anarchie et l’effondrement des bases de notre société. Le principe de ces réincarnations est de faire revenir l’âme de certaines personnalités dans l’enveloppe charnelle de jeunes cobayes humains.
Un de ces jeunes garçons, plus vivace que les autres réussit à s’échapper de la base. Son nom, Kim. Dans l’âme de ce jeune garçon, la réincarnation de « Samuel Wilson ».
Au début de ce deuxième opus, nous le retrouvons dans le bureau du professeur Simon Merid, psychiatre de formation, de son vrai nom, Simon Wilson. Celui-ci ignorant la véritable identité du garçon, interne Kim dans un centre psychiatrique, d’où il s’échappe avant que les agents de la CIA ne mettent la main dessus.
Il prend alors contact avec son ancien instructeur et homme de confiance, John Fields, pour lui demander de protéger son fils de la CIA.
Kim, alias Samuel Wilson va-t-il réussir son ultime mission, raison de sa réincarnation ?
Comment John Fields persuade-t-il la C.I.A. de ne pas toucher à Samuel Wilson ?
Episode 2/2 du premier cycle de cette série, dont la fin ne ferme pas les portes vers d’autres opus. D’après un scénario d’Hervé Richez, le tout dessiné par Jean-Jacques Dzialowski, nous trouvons ici une série bien ficelée, qui nous tient en haleine du début à la fin.
Richez, nous démontre sa faculté de pouvoir scénariser des séries allant de l’humoristique (Les damnés de la route, Dirty Henry) au fantastique (Krän, Sam Lawry) en passant par le polar Thriller (Groom Lake). Sa rencontre avec le dessinateur Dialoowski, verra la naissance de la série « Groom Lake » et viendra gonfler le catalogue (en pleine progression) de la collection « Grand Angle »
Venez discuter de cette série sur notre forum en cliquant ICI.