Chronique Comics: Doggybags # 9

Death of a nation


Série: Doggybags #9
Auteurs: Aurélien Ducoudray, Run, Hasteda, Jebedaï, Auger Philippe
Editeur BD: Ankama
Une chronique Comics: Génération BD
 

Présentation :

 

Vous êtes à la recherche d’une idée originale pour passer un weekend inoubliable ? Penser au Patriot park : « LE » parc que vous devez choisir si vous êtes un vrai patriote : venez zigouiller les ennemis de la nation. Nous avons des figurants plus vrais que nature qui vous permettront de revivre dans les conditions du réel les évènements les plus marquants de l’histoire des Etats-Unis. De fort Alamo à Gantanamo, en passant par un certain mois de novembre à Dallas. Sans oublier la toute dernière acquisition du parc : la patriotic river. Frissons garantis !!



L’avis de Dumbo :

Doggybags revient dans ce tome 9 avec un nouveau trio de duos à la barre : Ducoudray- Run ; Hasteda- Jebedai et Run-Auger.

Le premier récit nous fait visiter ce parc sans égal : on découvre les attractions, et surtout les acteurs principaux : les zombies. Le parasite mexicain, Fassciola Cerebella Zombi,ayant fait des ravages dans les cervelles de ces individus, Rupoch y trouve les animateurs idéaux pour son parc d’attraction : ces créatures peuvent se faire trucider à volonté, à la plus grande joie des visiteurs contre espèces sonnantes et trébuchantes, évidemment.

Dans la seconde partie, l’armée vient à l’aide de malheureux ( ??) touristes oubliés dans ce parc de folie.

Dans le dernier chapitre, le dernier président entre dans sa dernière résidence où il a sa dernière surprise.

 

La revue a son courrier des lecteurs, ses encarts publicitaires et même son poster en dos de quatrième de couverture. On dirait un comics des années 50’s.

C’est féroce, c’est gore, j’adore tout simplement.

A propos de Doggybags

Plus Brutal qu'un coup de fusil à pompe en pleine tête et plus vicieux qu'un arrachage de dent à la pince-monseigneur, Doggy Bags est un hommage aux pulps et aux comics d'horreur des années 50 qui ne fait pas dans la dentelle: les chromes rugissent, les calibres crachent et l'hémoglobine coule à flot dans la joie et la mauvaise humeur. Sortez vous p'tits sacs pour toutous, parce qu'il va y'avoir de la viande en rab.

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