Death Note, Acte 2 !?!
C’est une news relayée par notre partenaire Kana:
Un des mangas culte des années 2000 s’apprête à connaitre aujourd’hui une suite!
Le numéro 2 du magazine Shueisha Jump Square a annoncé l’arrivée d’un one shot Death Note dans son 3ème numéro, prévu pour ce 4 février !
C’est un évènement assez incroyable puisque le manga original est terminé au Japon depuis… 2006.
Le scénario de ce one shot de 87 pages se passera après la trame principale de la série, où le Death Note de Ryuk se retrouvera une nouvelle fois à trainer dans le monde des vivants.
Le chapitre comportera une double page centrale en couleurs, et fera la couverture du numéro 3 du Jump Square !
Voilà qui fait rêver…
Pour autant, les éditions Kana préviennent: ils ne promettent rien pour une édition francophone:
« Pour ce qui est de sa parution chez nous, nous ne savons pas encore si il sera possible de le proposer, ni comment.
En effet, sa faible pagination ( 87 pages, là où un tome normal en compte +- 200 ) rend son édition seule un peu compliquée.
Nous reviendrons vers vous dès que nous aurons plus d’informations ! ;) »
Dans l’intervalle, n’hésitez pas à découvrir cette série mythique, en édition classique ou en Black Edition !

Marcel Gottlieb, dit GOTLIB (né le 14 juillet 1934 à Paris et décédé le 04 décembre 2016) est un auteur de bande dessinée français, surtout connu pour ses histoires humoristiques (Gai-Luron, Les Dingodossiers, La Rubrique-à-brac,Super-Dupont ou encore Hamster Jovial ...) et les nombreuses pages qu'il a publiées dans deux importants mensuels qu'il a créés dans les années 1970, L'Écho des savanes et Fluide glacial.
GOTLIB est un maitre de l'humour noir, ce qui lui permet d'aborder des thèmes qui lui sont chers, parfois de manière satirique envers lui-même, jetant le discrédit sur son propre humour qu'il désigne avec ironie « fin et sophistiqué ». L'ensemble de sa création se caractérise
par ce que Thierry GROENSTEEN nomme une « euphorie citationnelle » propre à susciter le rire chez le lecteur, et qui consiste à truffer ses pages de références tant cinématographiques que littéraires ou picturales.
On terminera cette Ode au maitre par sa célèbre blague: « Comment vas-tu.. yau de poêle ? »