Les 4 statues« Shaman King » sont dévoilées...
…Et c’est du très lourd pour tout fan de Para-Manga en 3D…
Pour les 20 ans de la série, et suivant une actualité richement fournie chez notre partenaire Kana, on vous présente aujourd’hui une nouvelle statuette s’intégrant parfaitement avec les 2 précédentes et qui pourra former un parfait diorama avec une ultime quatrième représentation à venir.
Créées par Kotobukiya et sculptées par Tomomi Tsuchiya et Tatsuya Hattori, les deux premières figurines représentaient respectivement Yoh et Hao, et sont basées sur une illustration originale du créateur de la série, Hiroyuki Takei.
Ce jour, Kotobukiya nous présente donc la 3ème figurine, mettant cette fois Tao Ren sous le feu des projecteurs.
Celle-ci possède beaucoup de détails impressionnants comme le sol & la sépulture fissurée d’Amidamaru, ou encore les finitions dorées de différents éléments 😱
Elle est proposée au prix de 11.080 yens (+ ou – 95 euros, sans compter les taxes) au Japon. Il faudra compter un peu plus en France, suite aux frais d’importation.
Pour info, la dernière de cette série devrait être centrée sur Horohoro et sera précommandable le 30 juin pour une sortie prévue fin décembre 2020.
Toutes sont réalisées à l’échelle 1/8 ( +- 18,3 cm pour Yoh et +-26 cm pour Hao ) et possèdent des socles assemblables pour faire un diorama !
Du très bel ouvrage, assurément!

Marcel Gottlieb, dit GOTLIB (né le 14 juillet 1934 à Paris et décédé le 04 décembre 2016) est un auteur de bande dessinée français, surtout connu pour ses histoires humoristiques (Gai-Luron, Les Dingodossiers, La Rubrique-à-brac,Super-Dupont ou encore Hamster Jovial ...) et les nombreuses pages qu'il a publiées dans deux importants mensuels qu'il a créés dans les années 1970, L'Écho des savanes et Fluide glacial.
GOTLIB est un maitre de l'humour noir, ce qui lui permet d'aborder des thèmes qui lui sont chers, parfois de manière satirique envers lui-même, jetant le discrédit sur son propre humour qu'il désigne avec ironie « fin et sophistiqué ». L'ensemble de sa création se caractérise
par ce que Thierry GROENSTEEN nomme une « euphorie citationnelle » propre à susciter le rire chez le lecteur, et qui consiste à truffer ses pages de références tant cinématographiques que littéraires ou picturales.
On terminera cette Ode au maitre par sa célèbre blague: « Comment vas-tu.. yau de poêle ? »