Fukushima, 10ans by Kana
C’était il y a pile 10 ans: un terrible tsunami dévastait le site nucléaire de Fukushima, au Japon.
Les éditions Kana reviennent sur cette tragédie avec 2 séries.
Encore aujourd'hui, la préfecture souffre de cet événement, les ouvriers continuent de nettoyer les déchets radioactifs.
Cela fait à peine 3 ans que des habitants reviennent à Fukushima mais le cœur de la préfecture reste inhabitable.
(Voici un article/reportage "France Info" ultra complet de Karyn Nishimura, sorti en novembre 2020, 10 ans après Fukushima)
est sortie en 2016, et est créée par Kazuto Tatsuta.
Ce manga ne prétend pas vouloir révéler « la vérité sur Fukushima » mais relate en détails et objectivement le témoignage d’un travailleur de la centrale par ailleurs mangaka.
Le synopsis:
Mars 2011. À la suite d’un tsunami, Fukushima Daiichi, la centrale nucléaire 1F, subit une terrible explosion.
Si l’événement est connu de tous, sait-on vraiment ce qui s’est passé après?
Un mangaka s’est fait embaucher dans les équipes de travail sur place. Il nous emmène à l’intérieur de la centrale et nous fait découvrir le quotidien d’un travailleur dans ces conditions extrêmes.
L’autre album est un one-shot et s’intitule: « Les cerisiers fleurissent malgré tout ».
Un album tout en émotion et en retenue, par l’auteur de America, 1945, Là où la mer murmure. Il est plus ancien (sortie en 2013).
Le synopsis:
Une Japonaise vivant en Italie revient régulièrement au Japon et en profite pour rendre visite à son ancienne institutrice. Elle promet à la vieille dame de revenir la voir au printemps. Mais un tremblement de terre frappe le Japon, nous sommes le 11 mars 2011. Keiko Ichiguchi nous offre ici un récit intimiste où elle évoque avec pudeur les tragiques événements qui ont frappé le Japon, et se penche sur l’inquiétude et l’angoisse qui ont frappé les Japonais résidant à l’étranger pendant la catastrophe.

Philippe « ZEP » Chappuis, né ce jour en 1967 est citoyen helvétique.
Père d’un des plus grands succès du IXème Art contemporain, Titeuf, ce paisible auteur ne se prend pas la tête avec le succès de son personnage.
Il créa son 1er fanzine à l’âge de 12 ans qu’il appèlera « Zep », en hommage à Led Zeppelin....
C’est en 1992 qu’il signe chez l’éditeur Glénat son 1er tome de sa série emblématique, intitulée « Dieu, le Sexe et les Bretelles ».
Ces dernières années, s’il continue toujours Titeuf, Zep prend des risques en lançant profusion de nouvelles BD, tantôt actu-humoristiques, (« What a wonderful world 1 & 2 »), tantôt plus adultes, telles « Esmera » ou le très beau « Un bruit étrange et beau », chez Rue de Sèvres.

Harold « Wilberforce » Clifton est un détective britannique amateur, ancien colonel du MI-5. Aujourd'hui à la retraite, il partage son temps entre ses loisirs, et les enquêtes qu'on lui propose. Il s'agit soit de particuliers, soit de ses anciens collègues du MI-5 ou de Scotland Yard.
Cette série d’aventure policière a fait les belles heures du journal de Tintin, dans lequel elle fera sa première apparition en 1959 (le n°50/59, pour être précis!)
Imaginée initialement par Raymond MACHEROT, elle sera reprise par la suite par le duo « DE GROOT & TURK », mais aussi épisodiquement par BEDU et enfin Michel RODRIGUE.
En 2016, les éditions du Lombard relance la série avec TURK & ZIDROU, pour une vingt-deuxième aventure intitulée « Clifton et les gauchers contrariés ».






















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