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Les 3 auteurs en lice pour le Grand Prix du FIBD d'Angoulème
A l’issue du premier tour de l’élection du Grand Prix 2018, qui s’est déroulé du lundi 8 janvier au samedi 13 janvier (à minuit) et qui a fédéré la participation de 1230 autrices et auteurs.
Les trois auteurs plébiscités pour concourir au second tour, sont, par ordre alphabétique :
- Richard Corben (USA, né en 1940) – The Punisher, Hellboy, Luke Cage, Hulk
- Emmanuel Guibert (France, né en 1964) - La guerre d’Alan Le Photographe, Les sardines de l’espace
- Chris Ware (USA, né en 1967) – Jimmy Corrigan, Rusty Brown, Building Stories
Le second tour se déroule du 17 au 21 janvier avec le même collège de votants (tout auteur ou autrice de bande dessinée professionnel, quelle que soit sa nationalité, dont les oeuvres sont traduites, en français et diffusées dans l’espace francophone et ayant participé au premier tour est admis à voter pour l’élection du nouveau Grand Prix) et le nom du Grand prix sera annoncé le mercredi 24 janvier vers 18h00.

Maryse DUBUC, scénariste des Nombrils est née à Sherbrooke (Québec) le 21 octobre 1977.
Après avoir étudié en Lettres françaises, elle publie divers ouvrages catégorisés « Jeunesse » chez Bayard, Vent d’Ouest,…
En 2006, elle lance avec son compagnon DELAF la série « Les nombrils ».
Pour cette série, elle a reçu le Prix du meilleur scénariste décerné lors de la 6e édition des « Joe Shuster Awards » organisé à Toronto en juin 2010.
Pour en savoir plus sur DELAF, rendez-vous dans cette rubrique, le 09 octobre prochain (c’est dans longtemps, je sais!)

Le Journal de Mickey a débuté en France sous l'impulsion de Paul Winkler, fondateur de l'agence Opera Mundi, détentrice des droits des bandes dessinées Disney en France, ainsi que d'autres comics américains. Il est destiné aux enfants de 7 à 13 ans. La première édition est datée du 21 octobre 1934.
Le magazine révolutionne la presse jeunesse française et permet l'arrivée des productions de comics américains en France en plus grand nombre, plusieurs magazines similaires sont ainsi lancés dans les années suivantes. Cette période se voit même nommée "l'Âge d'Or de la Bande dessinée" .