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Le nouveau Zoo #67 est arrivé!
Rentrée scolaire rime depuis des années avec 2 événements dans le monde de l'Info du IXème Art: la reprise de l’émission kaboom! et un nouveau numéro de Zoo le Mag!
Bon, c’est vrai que nos amis de Kaboom (cette superbe émission presque mensuelle) ont un peu de retard sur ce calendrier (mais on est sur qu’ils nous mitonnent un 1er numéro de derrière les fagots!), on vous présente aujourd’hui le #67 de Zoo le Mag!
Au sommaire:
- Mise en avant des nouveautés présentés par leurs auteurs au festival « Quai des Bulles », tel le nouveau Spirou d’Emile Bravo ou le Conan de Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat;
- Le nouveau Matthieu Bonhomme « Charlotte Impératrice »;
- Le premier bébé né de l’union entre Glénat et Comix Buro: « La mort Vivante », de Varanda et Vatine;
- Le renouveau de l’oeuvre culte de Buichi Terasawa, « Cobra », chez Isa Manga
- La double sortie BD/Manga d’une série centrée autour du Némesis de Sherlock Holmes (chez Kana et chez Delcourt);
- Une présentation du nouveau Naoki Urasawa qui a posé ses crayons au Louvre de Paris;
- Et bien d’autres choses encore!
Rendez-vous dans vos librairies préférées ou en ligne en cliquant sur cette couverture. (Attention: leur site n'aime pas trop les AdBlockers)
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.