WTF…riday: les débuts de Geluck
Connaissez-vous les touts débuts de celui qui est devenu une véritable star de l’humour, tant sur les plateaux TV que dans la BD?
Pour notre info « décalée » du vendredi, on vous fait remonter le temps en vidéo et en images!
Ce véritable fleuron belge des bons mots a débuté tout d’abord véritablement sa carrière en 1980 dans une émission totalement déjantée du nom de Lollipop, au côté d’une vieille mégère adorable du nom de Malvira!
Pour le plaisir des yeux et pour armer vos zygomatiques, on vous a dégoté ces 3 vidéos, issues de la Sonuma, véritable archive de l’audiovisuel belge:
Pour la bonne bouche (et le plaisir des oreilles!), on vous a d'ailleurs retrouvé l’album audio éponyme complet:
Sur le plan BD, c’est un peu plus tard, le 22 mars 1983 qu’il crée pour le grand journal « Le Soir » son anti-héros emblématique: Le Chat!
A ce jour, est sorti d'ailleurs son dernier album "Le chat est parmi nous", dont notre brave rédakteur en chef, le Maroulf-bien-aimé avait réalisé sa chronique (un clic la aussi sur cette image pour la (re)lire:
C'est en 2011 qu’il allie ces 2 univers en déclinant les aventures du Chat en petites capsules vidéos intitulées « la minute du Chat ».
Afin de terminer cette news, on lui laisse la parole sur cette sage pensée:

Harvey KURTZMAN (3 octobre 1924 – 21 février 1993) est un dessinateur de bande dessinée américain.
Très tôt attiré par la bande dessinée, il publie ses premières histoires à 18 ans. Après avoir produit des pages pour divers éditeurs, il arrive en 1949 chez EC Comics. C'est là qu'il acquiert sa célébrité, tout d'abord en éditant, écrivant et dessinant des comics de guerre (Two-Fisted Tales et Frontline Combat) puis en étant le tout premier rédacteur en chef du magazine Mad édité par EC Comics) en 1952.
KURTZMAN est également connu pour le strip Little Annie Fanny, paru dans le magazine Playboy de 1962 à 1988. Plus tard encore, il sera décrit par le New York Times comme ayant été « l'une des figures les plus importantes de l'Amérique de l'après-guerre », notamment à cause de l'influence de Mad sur la culture populaire américaine.