- Milan Morales
- BD
Janry: une magnifique interview
Janry qui passe en revue sa carrière et ses oeuvres… Une vidéo de 40’ génialissime !
On aurait aimé que cet interview fusse de nous, mais il n’en est rien: réalisée lors du 1er festival de la BD à Saint-Raphaël, le weekend dernier, elle est issue de Despera, pour le forum InediSpirou.com.
En cliquant sur leur baniière, vous serez envoyé directement vers ce très chouette forum (que le fan de Spirou que je suis ne connaissais pas, Mae culpa!)
Cet auteur, avec son comparse Tome, fait partie des repreneurs les plus aimés des fans dans l'ère post-Franquin; il nous parle sans détour de leurs Spirou et Fantasio, de ses personnages secondaires qu'il apprécie le plus et aime le moins, mais aussi de leur série "Le Petit Spirou", de "Passe moi l'ciel" et de ses relations avec Eric-Emmanuel Schmidt pour la série avortée Poussin 1er.
Il dévoile aussi ses impressions sur les éditions de luxe de Spirou et Fantasio chez Black and White, sur les festivals et de son public en général, de Machine qui Rêve très longuement, de son album préféré etc…
Certes, la qualité sonore n’est pas top, mais honnêtement, c’est un pur délice que d’écouter ce grand discret de Janry
Grand merci pour ce beau moment, les 40’ sont passées hyper-vite, j’en ai encore de la bave à la commissure des lèvres… :)
Assez de blabla, cliquez sur cette image pour écouter "le Maitre"!
Cette news a été postée après avoir demandé l'accord de leur auteur.

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.
Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.
Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…
(Source: artisbd)