Un nouveau cycle de « La Complainte… »
L’information est désormais officielle: Jean Dufaux planche depuis l’année passée sur un nouveau cycle de l’une de ses séries-phares: La complainte des Landes perdues!
Ce scénariste très productif (c’est lui qui a créé les séries Niklos Koda, Barracuda, Croisade, Djinn, Giacomo C., Murena,…), a embarqué dans cette nouvelle Aventure le dessinateur Paul Teng et a choisi de faire confiance aux pinceaux de la coloriste Bérengère Marquebreucq.
Là aussi, ces 2 intervenants ne sont pas n’importe qui:
Paul Teng a oeuvré sur la série Shane, tandis que la coloriste elle s’est occupée des planches de séries telles IR$, Léopoldville 60 ou encore XIII (excusez du peu…)
Sans en dévoiler de trop tout de suite, cette nouvelle épopée nous ramènera auprès de la belle Sioban, héroïne du premier cycle!
L’histoire se déroulera chronologiquement après l’originelle, dessinée alors par Grzegorz Rosinski.
Pour pouvoir situer cette nouvelle histoire sur une frise temporelle, il est utile de préciser que les 3 cycles originels (ceux dessinés par Rosinski, Delaby et celui en cours par Béatrice Tillier) forment une sorte de suite antéchronologique, tandis que celle-ci viendra donc compléter le tout premier…
Pas encore de date pour ce #1, mais vu l’état d’avancement, on peut raisonnablement tabler pour une sortie seconde moitié de cette année 2020!.
On en connait enfin le titre: « Lord Heron » et quelques cases / Planches ont fuité sur le Net, histoire de bien faire monter la hype!…
Savourez, c’est cadeau! ;)

Marcel Gottlieb, dit GOTLIB (né le 14 juillet 1934 à Paris et décédé le 04 décembre 2016) est un auteur de bande dessinée français, surtout connu pour ses histoires humoristiques (Gai-Luron, Les Dingodossiers, La Rubrique-à-brac,Super-Dupont ou encore Hamster Jovial ...) et les nombreuses pages qu'il a publiées dans deux importants mensuels qu'il a créés dans les années 1970, L'Écho des savanes et Fluide glacial.
GOTLIB est un maitre de l'humour noir, ce qui lui permet d'aborder des thèmes qui lui sont chers, parfois de manière satirique envers lui-même, jetant le discrédit sur son propre humour qu'il désigne avec ironie « fin et sophistiqué ». L'ensemble de sa création se caractérise
par ce que Thierry GROENSTEEN nomme une « euphorie citationnelle » propre à susciter le rire chez le lecteur, et qui consiste à truffer ses pages de références tant cinématographiques que littéraires ou picturales.
On terminera cette Ode au maitre par sa célèbre blague: « Comment vas-tu.. yau de poêle ? »