Natacha en Grand format et en VO!
Ne niez pas: vous avez toujours rêvé de voir d’un peu plus près, en un peu grand le trait fin & ciselé de Walthéry…
Votre rêve va -bientôt- devenir réalité!
L’année passée, les éditions Dupuis ont lancé une nouvelle collection destinée exclusivement aux amateurs éclairés -et fortunés- de reproductions de planches originales.
Forts du très beau succès de leur première édition (« Libellule s’évade », Gil Gourdan, de Tillieux) qui a été très vite épuisée, ils s’apprêtent à lancer un second album du grand détective le 20 avril, puis s’attaqueront à l’une des héroïnes les plus sexy du IXème Art: Natacha!
Ainsi donc, ce sera sous ce prestigieux format que les deux premières histoires de Natacha, dessinées par François Walthéry sur un scénario de Gos, paraîtront dans une seule édition de luxe.
Cet album, coûtera comme les précédents 199€.
Il comprendra un album grand format de 120 pages avec les deux histoires -« Hôtesse de l'air » (1970) et « Natacha et le Maharadjah » (1972)- sous forme de reproductions en fac-similé des originaux ainsi qu’un dossier préliminaire.
Amateurs de beaux dessins, ne tardez pas à pré-réserver votre exemplaire : sortie programmée au 20 mai 2022 !

Marcel Gottlieb, dit GOTLIB (né le 14 juillet 1934 à Paris et décédé le 04 décembre 2016) est un auteur de bande dessinée français, surtout connu pour ses histoires humoristiques (Gai-Luron, Les Dingodossiers, La Rubrique-à-brac,Super-Dupont ou encore Hamster Jovial ...) et les nombreuses pages qu'il a publiées dans deux importants mensuels qu'il a créés dans les années 1970, L'Écho des savanes et Fluide glacial.
GOTLIB est un maitre de l'humour noir, ce qui lui permet d'aborder des thèmes qui lui sont chers, parfois de manière satirique envers lui-même, jetant le discrédit sur son propre humour qu'il désigne avec ironie « fin et sophistiqué ». L'ensemble de sa création se caractérise
par ce que Thierry GROENSTEEN nomme une « euphorie citationnelle » propre à susciter le rire chez le lecteur, et qui consiste à truffer ses pages de références tant cinématographiques que littéraires ou picturales.
On terminera cette Ode au maitre par sa célèbre blague: « Comment vas-tu.. yau de poêle ? »