3 petites questions à… Krings
Suite à notre article de la semaine passée, expliquant le recentrage des éditions Kennes, nous avons contacté 2 auteurs dont nous apprécions particulièrement le travail afin d’avoir leur retour. On en a profité en même temps pour en savoir plus sur leur future production…
3 questions furent posées à Jean-Marc Krings, auteur de « Passe Peur », « Diables Rouges - Espoirs », mais aussi d’un nouveau projet très prometteur avec Corbeyran au scénario.
1° Suite au recentrage de l'éditeur, qu'en est-il de vos séries en cours? Arrêt total?
La série "PASSEPEUR " est stoppée….
Celle des "Diables rouges- Espoirs " devrait se poursuivre si les ventes sont bonnes.


2° Depuis de nombreux mois, vous êtes sur une BD à l'ambiance FarWest. Passe-t-elle à la trappe elle aussi? Ou en êtes-vous sur ce projet?
Mon western avec Corbeyran continue : "La piste de l'Oregon " devrait paraître début 2023 chez Kennes toujours.


3° On sait que vous êtes un bourreau de travail, dessinant même parfois plus vite que votre ombre... Quels sont vos projets en cours (chez Kennes mais aussi auprès d'autres éditeurs) ?
Je bosse avec ma fille Natacha sur un récit court de 10 pages pour un magazine Hollandais "MAXIX " qui devrait nous prendre d'autres récits. Nous travaillons également sur un roman graphique.
A côté de cela je fait du travail publicitaire et pas mal de commandes pour des collectionneurs.


Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.






















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