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Dufaux … 6 lettres
« K-A-B-O-O-M » ! Pas mieux…. Amateurs de Scrabble mais aussi et surtout de Bande Dessinée, Kaboom fait une partie endiablée avec Jean Dufaux!
Rien qu’avec son introduction pré-générik, le ton est donné: on sait qu’on va passer un bon moment avec l’équipe de Kaboom pour ce 62ème épisode!
Ce grand scénariste franco-belge nous éclaire de son regard sur l’ensemble de son oeuvre, en démarrant de son amour pour le magazine Pilote. Et très vite, les anecdotes sans filtre fusent: saviez-vous qu’il avait réalisé une adaptation totale de son oeuvre « Rapaces » pour le cinéma, mais qui est passée ensuite à la trappe?
L’auteur revient sur ses intuitions, ses déboires avec certains éditeurs, son amour pour la femme, ses rencontres. Il nous parle aussi de sa méthode de travail et de son futur d’écrivain.
Plusieurs membres de la rédaction ont déjà eu l’honneur de discuter avec Jean Dufaux; tous nous sommes unanimes: cet auteur est un puit de savoirs qui reste humble et ouvert à l’autre.
Un vrai plaisir que de prendre 15 minutes de pause avec Jean Dufaux!
(un clic un seul sur la vignette ci-dessus vous emmènera dans l'antre de Jean Dufaux)
[KABOOM #62 – Jean Dufaux, au fil des mots]
Créée par Bill WATTERSON le 18 novembre 1985, la série s'est terminée le 31 décembre 1995, après dix ans de parutions à raison d'une bande par jour, et d'une planche hebdomadaire en couleur. Elle a, durant cette période, connu un succès fulgurant, et été publiée par plus de 2 400 journaux de par le monde. À ce jour, plus de trente millions d'albums ont été imprimés, et Calvin et Hobbes sont devenus une nouvelle référence de la culture populaire.
La série décrit le quotidien de Calvin, enfant plutôt solitaire et très imaginatif, du double point de vue de Calvin lui-même et de son environnement, le comique naissant souvent de la différence de vision entre les protagonistes.
Aux yeux de Calvin, sa peluche, Hobbes, est une sorte de tigre anthropomorphe doué de parole et d'une personnalité propre alors que tous les autres personnages le voient comme un simple jouet. La série joue souvent sur cette double nature de Hobbes et l'ambiguïté n'est volontairement jamais levée.