Une intégrale Jacky & Célestin... Enfin !
S’il est bien une série de Peyo qui n’a pas eu le succès mérité, c’est bien celle-ci. Pour les fans de cet âge d’or, les éditions du Tiroir remettent en lumière les histoires dessinées par Walthéry.
Outre donc le plaisir de (re)découvrir cette oeuvre passée, un dossier de 54 pages (commenté par Bertrand Pissavy-Yvernault) attends les lecteurs.
4 Paliers d’achat sont proposés, de 65€ à 225€, selon vos envies et vos moyens.
Pour en savoir beaucoup (et y contribuer par la suite), un seul clic sur ces planches vous expédiera dans les tiroirs de cette édition 100% « François Walthéry »
Le rédactionnel de l’éditeur:
Cachés derrière Johan et Pirlouit, Poussy, les Schtroumpfs ou Benoît Brisefer, Jacky et Célestin font aujourd'hui presque figure d'oubliés dans la grande galerie des personnages de Peyo.
Si leur notoriété n'a bien évidemment rien de comparable avec celle de leurs aînés, c'est peut-être tout simplement parce qu'ils n'ont jamais bénéficié d'une audience telle qu'un Journal de Spirou aurait pu leur en offrir - leurs aventures ont été publiées dans Le Soir illustré -, ou parce que Peyo ne leur a pas accordé la même attention qu'à ses autres créations. Pourtant, « Jacky et Célestin » incarne à la perfection l'état d'esprit qui a pu régner au studio Peyo durant son apogée, dans les années 1960 : celle d'une formidable pépinière de talents, à laquelle sont apparentés quelques-uns des plus fameux représentants de l'école de Marcinelle.
Aujourd'hui, les Editions du Tiroir ont décidé, avec l'aide de François Walthéry, de ressortir les albums dessinés par lui-même, dans un seul volume raconté par un habitué de la profession, Bertrand Pissavy-Yvernault.
224 pages de bons souvenirs et de surprises, dont un dossier de 54 pages et les 4 albums suivants :
1. Vous êtes trop bon !
2. Casse-tête chinois
3. Sur la piste du Scorpion
4. Le chinois est rancunier
Sans oublier une ribambelle de photos inédites prises durant cette période foisonnante de créations et une remise en couleur de toutes les planches sous la supervision de François.

MALIK, pseudo de William Tai est un auteur belge né à Paris. On lui doit le très bronsonien (Bronsonesque ?!?) Archie Cash avant que son style réaliste ne devienne plus léger afin de narrer les aventures de Cupidon, composées directement depuis le fauteuil du célèbre scénariste Raoul CAUVIN.
Il est décédé tragiquement dans l’incendie de sa maison le 11 décembre 2020…

Evidemment, cet auteur français né à Fontainebleau en cette date de l’année 1964 n’est guère connu sous son vrai nom..
Pourtant, il est connu pour être très prolifique et pour son style zoomorphique.
On lui doit un célèbre « Lapinot », un royal « Adalbert », les séries « Donjon …»
Multi-primé aussi (Angoulême 2006, Alph-art 1994, Montreuil 1996,…), son autre particularité est qu’il déteste les journalistes et refuse toutes les interviews.
Avez-vous deviné? Oui oui, c’est bien aujourd’hui l’anniversaire de Lewis TRONDHEIM!