Les Mongols passent à l’attaque!
Après nous avoir proposé de revivre les grandes guerres de Chine ("râââh Lovely" aurait hurlé feu-Gotlib!), les éditions Meian s’attaquent cette fois à l’invasion mongole du japon!
Publié depuis 2013 au Japon par KadoKawa, cette série en 10 tomes a aussi eu droit à sa version Anime, disponible d’ailleurs chez nous en Streaming sur Crunchyroll.
Aujourd’hui, ce sont donc les éditions Meian qui ont réussi le tour de force de pouvoir éditer ce gros succès signé Takagi Nanahiko pour nos contrées francophones!
Histoire de marquer le coup, les 2 premiers volumes seront disponibles au lancement, soit mi-novembre.
Le résumé de la série:
Jinzaburô Kuchii, un samouraï de Kamakura, est exilé à Tsushima où il est chargé par la fille du gouverneur, Teruhi, de défendre l'île des Mongols. Au lieu de la peine de mort, les proscrits ont reçu l'ordre de servir de pions sacrifiables. Ils doivent tenir sept jours jusqu'à l'arrivée des renforts de Kyûshû, mais face aux armes et aux tactiques étranges des Mongols, le maître du clan Sô, Sukekuni, et son fils, Umajirô, se font tuer. Alors que tous s'étaient résignés à perdre, Jinzaburô apparaît seul sur le champ de bataille, vêtu d'une ancienne armure...

Marcel Gottlieb, dit GOTLIB (né le 14 juillet 1934 à Paris et décédé le 04 décembre 2016) est un auteur de bande dessinée français, surtout connu pour ses histoires humoristiques (Gai-Luron, Les Dingodossiers, La Rubrique-à-brac,Super-Dupont ou encore Hamster Jovial ...) et les nombreuses pages qu'il a publiées dans deux importants mensuels qu'il a créés dans les années 1970, L'Écho des savanes et Fluide glacial.
GOTLIB est un maitre de l'humour noir, ce qui lui permet d'aborder des thèmes qui lui sont chers, parfois de manière satirique envers lui-même, jetant le discrédit sur son propre humour qu'il désigne avec ironie « fin et sophistiqué ». L'ensemble de sa création se caractérise
par ce que Thierry GROENSTEEN nomme une « euphorie citationnelle » propre à susciter le rire chez le lecteur, et qui consiste à truffer ses pages de références tant cinématographiques que littéraires ou picturales.
On terminera cette Ode au maitre par sa célèbre blague: « Comment vas-tu.. yau de poêle ? »