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Semaine Speciale Shigurui !

Evénement sur GénérationBD toute cette semaine!  On vous présente ce manga hors du commun, mais à ne surtout pas mettre entre toutes les mains tant il est violent et gore.

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(un clic un seul sur cette image pour visualiser la Bande annonce de la série)

 

Les éditions Meian ont vraiment le chic pour dégoter des mangas les plus emblématiques…
Alors que ce manga de Takayuki Yamaguchi a connu une 1ère publication catastrophique chez Pannini en 2006, l’éditeur-quii-n’a-peur-de-rien* a repris entièrement la série pour la rééditer sous leurs couleurs, dans un format de luxe de toute beauté!

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Si l’édition japonaise s’étalait sur 15 tomes, cette nouvelle publication se déclinera en 10 tomes de 300 pages.
Cette semaine, on vous présentera sur 4 journées les 4 premiers volumes.
Hop hop hop, voici le sommaire de cette action « hors du commun »:

- Lundi 12 juillet: Shigurui, une réédition de luxe… inespérée
- Mardi 13 juillet: L’histoire de ces 2 premiers tomes en quelques lignes…
- Mercredi 14 juillet: L’histoire des #03 & 04 en quelques lignes…
- Jeudi 15 juillet: Ce qu’on en a pensé de ces 4 premiers tomes…

 

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Adapté du roman “Surugajô Gozenjiai” (le tournoi du château Suruga) de l’écrivain Norio Nanjô, Shigurui mêle fiction et réalité et brosse le portrait d’un Japon médiéval dont la beauté n’a d’égale que la cruauté.

 

 

* on vous rappelle quand même que c’est eux les fous (et les seuls!) qui ont osé éditer en France la totalité de l’oeuvre de Yasuhisa Hara « Kingdom »!

Il était une fois un 16 Février ...
Olivier BAUZA

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.

Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.

Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…

(Source: artisbd)
 

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