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- Milan Morales
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Wonder Woman bisexuelle: Affaire d’état ou excès de puritanisme ?
Le débat fait rage depuis sa naissance il y a 75 ans, et refait surface aujourd’hui: Wonder Woman aime t-elle aussi les femmes ?
La réponse est oui, selon l'un des dessinateurs de la mythique série de DC Comics.
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Le fait que Wonder Woman soit née sur une île uniquement peuplée d'Amazones aurait pu être un indice pour les lecteurs les moins perspicaces, mais les auteurs ont légèrement brouillé les pistes quand elle tombe amoureuse d’un naufragé qui s’échoua sur l’île…
C’est finalement Greg Rucka, qui est revenu chez DC Comics cette année pour la série "Renaissance" célébrant les 75 ans de l'héroïne de bande dessinée, qui a levé tout doute qui pouvait encore subsister. Il a expliqué dans un entretien au site spécialisé Comicosity, que Wonder Woman était bisexuelle.
"Quand vous pensez à ce que le concept de Themyscira implique, la réponse est « Comment pourraient-elles ne pas toutes êtres dans une relation de même sexe ».
Cela ne fait aucun sens logique autrement", a souligné le dessinateur.
"L'idée c'est d'avoir une relation amoureuse et sexuelle qui soit satisfaisante. Et la seule option ce sont des femmes.
Mais une Amazone ne regarde pas une autre Amazone en disant « Tu es gay ». Pas du tout. Le concept n'existe pas", explique l'auteur.
En attendant de (re)découvrir les aventures de Wonder Woman, soit en Comics, soit sur grand écran, voici de quoi vous remettre en mémoire son nouveau thème musical hyper-rock!
Il était une fois un 7 Octobre ...
Enki BILAL
C'est le 7 Octobre 1951 qu'Enki (diminutif de Enes) BILAL voit le jour à Belgrade en Yougoslavie, six ans après la fin de la guerre « De père Yougoslave et de mère Tchèque », son père étant l'ancien tailleur du Maréchal Tito . Il y passe dix ans de sa vie.
Si certains fans l’élèvent parfois au rang d’icone de notre Pop-culture, il n’en reste pas moins qu’il est à la tête d’une solide liste de best-sellers, tel « Mémoires d’outre-espace (1975) », la trilogie « Nikopol » (1980, 1986 & 1992) », ou encore « La tétralogie du Monstre (1998, 2003, 2006 & 2007) ».
Il a aussi obtenu de prestigieux prix, dont le Grand Prix du 14ème festival d’Angoulême, en 1987.