Laurel lance un nouvel album sur Ulule.

Laurel est une auteure qu’on adore suivre, depuis la publication (gratuite!) autobiographique de la vie de sa famille dans la Sillicon Valley….
Elle lance aujourd’hui son nouveau bébé: « CaliforNid »…

… et comme à l’accoutumée, elle a choisi la plateforme de financement participatif Ulule pour s’autoediter!
… et comme à l’accoutumée (aussi!), elle a déjà explosé son objectif de rentabilité (en seulement 20’)..
Alors que la souscription a débuté il y a seulement 6h00, on en est déjà là:

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Pour rappel, son précédent ouvrage avait atteint des sommets durant sa campagne (+ de 4000%).
Avec Maliki, c’est sans doute l’auteure qui a le plus ouvert sa profession vers l’autoédition.

De plus, outre la qualité de ses histoires et de son style graphique reconnaissable directement, ce qui a très fort fonctionné auprès des souscripteurs était les « goodies », d’extrêmes qualités et en grand nombre!

« Comme convenu » donc, on vous renvoie vers la page de la mise en financement de son projet, en cliquant sur cette image!
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Pour rappel, vous pouvez cliquer >> ICI << pour en savoir plus sur sa précédente campagne, ou >> LA << pour (re)lire notre news où Laurel présentait son nouveau concept (bien qu’elle ait changé de sujet principal en cours de création).

 

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Pour découvrir enfin les pages (toujours gratuites) de cette nouvelle « tranche de vie » de l’auteure, vous pouvez vous rendre sur son Blog: https://bloglaurel.com/
Si vous aimez son travail, c'est aussi un moyen de la remercier pour toutes ces planches publiées presque quotidiennement en ligne gratuitement !

Bonne découverte à vous!

Aloreuh, quel pack va-t-on choisir cette fois… Le « Plaisir » ou le « Prestige »…? ;)

 

Il était une fois un 16 Février ...
Olivier BAUZA

Olivier est né une nuit d’orage de l’année 1970. Il tombait des cordes, ce qui le prédestinait à devenir violoniste. Mais comme le bébé avait bonne mine, il opta pour une carrière dans le dessin. Durant son enfance, ses professeurs disaient souvent qu’il lui manquait une case. Olivier, pour se soigner, se lança dans la BD. Il devint alors associable et resta dans sa bulle, ne s’exprimant que par onomatopées. Les pages blanches lui provoquant des idées noires, il ne cessa de gribouiller et vit soudain la vie en rose.

Sa Superpepette martyrisa Spirou Hebdo, sa Loana Jones tortura Pif Gadget et ses Provençaux sévirent dans toute la Paca.

Olivier traumatise aussi les écoliers du sud de la France où il donne des cours de BD régulièrement. Les nuits de pleine lune, retrouvant une certaine lucidité, il délaisse la BD humoristique et se lance alors dans des projets réalistes, comme Cézanne ou Dinia… Un garçon très dur à cerner, finalement…

(Source: artisbd)
 

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